Réunion Délégués du Personnel
– Janvier 2007
Ordre du jour :
majoration des heures
supplémentaires
Droits aux repos compensateur :
Travaux et aménagements au B2 étage (EPSG).
La majoration des heures
supplémentaires est de 125% dès la première à la huitième heure et de 150%
après.
Donc normalement les heures passent à 150% après les 8 premières
heures.
Pourtant, quand on
travaille le dimanche pendant 10H, par exemple, et si le lundi on fait des HS
elles ne sont pas valorisées à 150% mais à 125 %, comme si on n’avait pas fait
d’heures avant !!
Les élus réclament
l’application du passage à 150% dès la 8ème heure travaillée dans la semaine.
Si les heures effectuées
le dimanche posent un problème la direction n’a qu’à faire commencer la semaine
dans GTT le LUNDI !!
Réponse : Les heures
supplémentaires sont décomptées sur la base d’une semaine (du dimanche 0h au
samedi 24h). Les majorations appliquées aux heures supplémentaires sont donc
conformes dans la mesure où, sur la semaine, les 8 premières heures à taux égal
sont majorées à 125% et les heures suivantes à 150% (hors donc majorations
supérieures applicables : ex. le dimanche 200%).
Votre réponse n’est pas
complète, car les majorations appliquées aux heures supplémentaires se
déclenchent, en plus des heures à 100 %, en fonction du jour ou de l’heure où
elles ont été effectuées.
La question porte sur la
remise à zéro du compteur des HS le lundi 0h : pourquoi ? Il y a-t-il 2
compteurs d’HS dans une semaine ?
Par exemple :
Un employé X travaille dimanche pendant 7H > donc 7 heures à
200%.
Si cet employé fait
encore des heures supplémentaires le mardi pendant 3H cela devrait faire > 1
heures à 125% (de la 1er heures à la 8eme heures) et 2 heures à 150
% .
Alors qu’IBM aujourd’hui compte :
7H du dimanche à 200% et 3 H du mardi à 125 %.
C’est IBM qui a fait le
choix de commencer la semaine le dimanche 0H, uniquement pour que les employés
qui travaillent le week-end puissent faire plus d’HS (car le compteur revient à
zéro le samedi 24H !!).
Les élus réclament que
toutes les heures supplémentaires soient comptabilisées dans la semaine
commençant le dimanche, ou bien que la semaine dans GTT commence le lundi.
Les élus réclament qu’un
employé qui travaille le dimanche ne voit pas son compteur d’HS remis à zéro le
lundi pour les heures de semaine en cours !
R.2 Réponse :Sont
rémunérées en premier les heures supplémentaires au taux le plus élevé, ainsi,
en cas de travail le dimanche les heures sont payées à 200%, puis le reste des
heures effectuées sur la semaine sont payées à 125% pour les 8 premières, puis 150% pour les suivantes.
Une déclaration à la
CNIL a t’elle été faite pour l'entrée biométrique du B4 ?
Réponse : Non, car aucune base de donnée
biométrique n'est gérée pour ce procédé
puisque chaque « enrôlement est unique » : l'encryptage des 2 empreintes
digitales est transféré directement dans
la puce du badge. Lorsque la personne positionne son doigt sur le lecteur
biométrique la validation de l'accès se fait par comparaison entre les données
contenues dans la puce du badge et celle lue par ce lecteur biométrique.
Combien de personnes de
PSD sont rattachées à Montpellier ?
Une personne.
Le compteur repos
compensateur n’est incrémenté dans GTT qu'après le paiement des heures
supplémentaires concernées.
Les élus réclament que
ce droit apparaisse dans GTT dès la signature du manager.
Réponse : Le compteur
est alimenté dans GTT dès lors que le manageur a validé la semaine concernée.
Toutefois, le transfert des données de
GTT vers le système paie ne se fait qu'une fois par semaine (le mercredi soir).
La réactualisation des compteurs dépend donc de ce cycle hebdomadaire.
Les élus réclament les
modalités de paiement de cette pension au moment du départ en retraite, et une
copie du contrat signé entre IBM et AXA.
Réponse : La notice d'information relative au contrat AG
1117 de l'assureur AXA, rubrique 12,
précise les modalités de la mise en paiement de cette pension. Cette notice est
disponible dans l'intranet sur le site suivant:
Le chapitre 12 est le suivant :
12. MISE EN PAIEMENT DE LA PENSION DE RETRAITE
Trois mois avant la date d'effet de la retraite, une demande de
mise en paiement de la pension de retraite, mentionnant nom et adresse de
l'assuré, doit être transmise à l'assureur accompagnée
des éléments suivants :
• relevé d'identité bancaire du
compte destinataire des virements,
• fiche d'état civil de l'assuré et, en cas de réversion
préalablement demandée, du (ou des) bénéficiaire(s) de la réversion,
• le cas échéant, avis de non
imposition ou de non recouvrement de l'impôt sur le revenu de l'avant-dernier
exercice précédant la date d'effet de la retraite, afin de justifier d'une
exonération partielle ou totale des prélèvements sociaux.
Une notification précisant le montant de la pension de retraite et
ses modalités de paiement est adressée par l'assureur au retraité lors du
premier règlement et de chaque modification du montant annuel de la pension.
Les rentes sont payables aux retraités et réversataires
trimestriellement, à terme échu, sans prorata d'arrérages au décès.
L’implantation du
personnel de l’EPSG, au B2 étage semble à l’heure
actuelle être faite sans plan d’ensemble, avec des aménagements ponctuels, afin
de caser les personnes (bientôt 2 personnes dans le même bureau), dans une
vétusté de mobilier et de locaux, sans autre considération.
Les elus
demandent que l’ensemble des besoins d’implantation et de surface pour l’EPSG soit pris en compte de façon globale, afin que
l’ensemble du personnel se retrouve dans des conditions normales de travail.
Les elus
demandent que cette question, en fonction de la réponse soit reprise au niveau
du CHSCT.
D’autre part, les
travaux actuels du B2 étage impliquent une gène au niveau de la disponibilité
des lieux communs : suppression des toilettes et vestiaires dames B2 étage.
Les elus demandent que cette situation
soit temporaire.
Réponse : Les
aménagements de la zone « EPSG » - comme les autres zones du site - se font en
fonction des besoins en poste de travail (en + ou -). Le mobilier hors d’usage
est remplacé en fonction des disponibilités de mobilier de remplacement (sans
garanti d’homogénéité). Les
réaménagements complets d’entité, s’ils devaient se faire, doivent respecter
les standards « open spaces » que la Direction
Immobilière définie. Pour l’instant les entités n’ont pas déclanché ces
réaménagements complets, à cause principalement des coûts associés.
Les travaux actuels du B2 étage, condamnent
temporairement les toilettes hommes. Par contre les vestiaires femmes sont
définitivement condamnées car le local est nécessaire
à l’extension des alimentations électriques secourues du Data Center. Les 4
personnes utilisant ces vestiaires ont été préalablement informées et leurs
casiers déménagées dans les vestiaires voisins du B2 étage.
Votre contact FO : P. Blondin